C’est fait !
Nous avons franchi le seuil des 250 associé·e·s au sein d’Énerg’Y Citoyennes. L’occasion d’un nouveau portrait d’associé !
Il se nomme Jean-Marie, a 43 ans et habite Grenoble. Il a accepté de se prêter au jeu de l’interview avec nous.
Comment as-tu connu Énerg’Y Citoyennes ?
« Ca fait plusieurs années. J’ai du mal à me souvenir comment exactement , certainement via un média grenoblois, car je m’intéresse à ces sujets de transition énergétique depuis longtemps et donc je lis ce que je trouve dans les médias ou sur les réseaux sociaux. »
Comme beaucoup de nos associés, Jean-Marie suivait l’avancement du projet depuis plusieurs années et savait qu’il allait souscrire à un moment ou à un autre : « il fallait juste trouver le temps … et l’épargne ! ».
Jean-Marie n’est pas un militant mais quelqu’un de convaincu sur la nécessité d’avancer, dans son quotidien il s’intéresse à ses consommations d’énergie, il utilise moins sa voiture pour privilégier le vélo, contrôle sa production de déchets … toutes ces choses que nous pouvons faire individuellement.
Pourquoi nous rejoindre maintenant ?
« J’avais de l’argent de côté et la souscription en ligne est arrivée ! Sans nul doute c’est cette possibilité de tout faire en ligne qui m’a fait franchir le pas : c’était plus facile et plus rapide. » Jean-Marie ajoute que c’est aussi pour lui le moment de donner une suite logique à sa démarche individuelle.
Pourquoi Énerg’Y Citoyennes ?
« C’est le seul projet citoyen que je connaissais ! » Jean-Marie trouve qu’il n’est pas facile de trouver des informations sur les projets locaux. Le principe même d’Énerg’Y Citoyennes ainsi que la gestion participative de la société ont pesé : « produire de l’énergie renouvelable collectivement ça m’intéresse, et de plus avec ce mode de gouvernance basé sur une personne = une voix, contrairement à ce qu’on voit dans les entreprises, on peut vraiment parler d’un projet démocratique ».
Ce qui plait aussi à Jean-Marie, c’est de pouvoir être actif : « je souhaite participer à ce développement d’un projet local, et bientôt également pouvoir devenir bénévole ! »
Et de conclure « réaliser des projets sur NOTRE lieu de vie c’est aussi plus concret ! »
Un mot pour ceux qui n’ont pas encore franchi le pas ?
« On doit prendre les choses en main, nous avons peut-être trop laissé faire sur beaucoup de sujets et notamment celui de l’énergie, il est temps qu’on s’investisse pour ré-orienter notre production d’énergie – C’est notre affaire à tous ! – Et nous avons ici une bonne opportunité de changer les choses. »
Quelle image pour illustrer cet interview ?
« Ce soleil vif, ce manque flagrant d’enneigement en plein cœur de l’hiver, symboles d’un dérèglement climatique, nous montrent que nous devons changer certaines choses…
Il y a aussi la vallée de Grenoble et ses belles montagnes qui nous montre également que cela vaut la peine de s’investir ! »
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Encore un témoignage inspirant – on l’espère 🙂 !
Les interviews précédentes de nos citoyens pour le climat :
- 200ème : Balkis, 28 ans, martinéroise
- 190ème : Eva, 13 ans, grenobloise
- 150ème : Pascal, 40 ans, sassenageois
- 100ème : Claire, 71 ans, grenobloise