C’est Cécile !
Cécile habite Fontaine, est originaire des Pyrénées et vit en Rhône-Alpes depuis trois ans. Elle a toujours été préoccupée par les questions environnementales. Par ses choix du quotidien (consommation, déplacements…), elle essaie d’œuvrer pour la transition énergétique et un avenir meilleur !
Elle a connu Energ’Y Citoyennes par le biais de sa vie professionnelle il y a déjà plusieurs années puisqu’elle a aussi fait le choix de travailler chez Enercoop Auvergne-Rhône-Alpes fournisseur d’électricité 100 % renouvelable et coopératif et un de nos fondateurs.
Pourquoi avoir décidé d’investir dans Energ’Y Citoyennes maintenant ?
Pour Cécile, le mode de production d’électricité centralisé et nucléaire de la France n’est pas satisfaisant :
« On ne peut pas éternellement se plaindre que le nucléaire est dangereux, que le charbon pollue et que la transition énergétique est trop lente si on ne met pas tout en œuvre de son côté, en tant que citoyen, à l’échelle locale ».
Elle a imprimé plusieurs fois déjà le bulletin de souscription à Energ’Y Citoyennes dans les… deux dernières années, et n’a jamais pris le temps de le remplir ! Avec cette information de la Belle Electrique se couvrant bientôt de panneaux photovoltaïques, et travaillant juste en face, cette idée que son lieu de travail, son ordinateur puisse être alimentés directement en circuit court par le toit de la Belle l’a enthousiasmée.
La voila donc 1ère adoptante de panneau sur la Belle Électrique !
Elle lui a même donné un petit nom !
Pour illustrer son propos, Cécile a choisi la photo de cette interview, prise depuis son lieu de travail avec vue sur le toit de la Belle Électrique : pour elle, c’est la démonstration du circuit-court par excellence et surtout la concrétisation tangible de son investissement !
Le message qu’elle souhaite envoyer à tout ceux qui hésitent encore à investir dans Energ’Y Citoyennes
Investir dans Energ’Y Citoyennes c’est pour elle une reprise de pouvoir citoyen – cela permet d’agir concrètement sur le paysage énergétique de son territoire, de pallier l’inertie des pouvoirs publics, de créer des synergies entre les collectivités, les citoyens, les entreprises et les élus afin qu’ils adhèrent au projet et qu’à long terme les politiques publiques soient plus ambitieuses. Un pas vers un cercle vertueux en quelque sorte !
Souhaitons que son témoignage en inspire beaucoup d’autres : plus que 277 panneaux restent à adopter sur La Belle Electrique !