Site icon Énerg’Y Citoyennes

Un gars, une fille : Fabien / Cécile, nos premiers souscripteurs en ligne !

Découvrons ensemble les deux premiers à avoir sauté le pas.

ELLE : Cécile, 32 ans, grenobloise / LUI : Fabien, 38 ans, grenoblois.
Ils ne se connaissent pas, mais ils ont répondu aux mêmes questions.

Comment avez-vous connu Énerg’Y Citoyennes ?

ELLE : La première fois que Cécile en a entendu parler, c’était il y a deux ans à la soirée ciné-débat sur le solaire citoyen au sein de l’Espace Info Énergie de l’ALEC, avec Fabienne, [une des fondatrices de notre société] qui témoignait. « Ce qui m’a marqué, c’est que j’ai compris qu’il y avait un créneau de pouvoir à (re)prendre par les citoyens. Puis en prenant un poste à la Métro, j’ai approché le sujet de plus près de par mon travail et mes collègues : j’ai posé des questions pour mieux comprendre le fonctionnement et j’ai vu que c’était vraiment porté et organisé par les habitants, tellement investis, ça m’a donné envie. »

LUI : Il a eu besoin de réfléchir pour s’en souvenir ! « Ça remonte à longtemps, environ deux ans, j’ai vu un article dans un média de la métropole. Je suis aussi parent délégué à l’école Clémenceau, donc j’ai appris l’installation de la toiture Énerg’Y Citoyennes sur notre école par la direction de l’école. A l’époque, j’avais pensé proposer ma toiture car j’habite une copropriété. »

Pourquoi souscrire maintenant ?

ELLE : Le confinement a permis à Cécile de mettre quelques euros de coté. Qu’en faire? Cécile voulait les placer dans quelque chose qui avait du sens « je ne veux vraiment pas que mon argent aille financer des mines en Australie ! »
Elle a saisi l’opportunité de la souscription en ligne pour investir sur l’énergie citoyenne renouvelable :  » Je l’ai trouvé super fluide pour une première ! J’ai eu un problème tout de même avec le téléchargement des pièces, mais j’ai eu une réponse à ma question dans la journée, donc ça a été réglé ! ».

LUI : « Il y a eu deux éléments déclencheurs : pendant le confinement j’ai pu voir les films Demain et Après-Demain, entre autres, qui ont alimenté mes réflexions. En parallèle, j’ai reçu de l’épargne salariale à placer et je me suis intéressé aux fonds « solidaires » proposés par mon entreprise. J’ai découvert une limite à 5% d’investissement dans le développement durable ou solidaire de l’offre disponible même lorsque que le titre comportait « solidaire »!… Bref, j’ai décidé d’investir moi-même et en local. La souscription en ligne a facilité le passage à l’acte c’est certain ! »

Pourquoi Énerg’Y Citoyennes ?

ELLE : Cécile est une habitante engagée, en veille permanente sur ces sujets de transition sociale et écologique. La crise actuelle a ravivé chez elle un besoin d’investir rapidement dans un projet qui soit local, citoyen, et dans lequel elle puisse avoir confiance : « Énerg’Y Citoyennes correspondait bien à ce besoin : j’ai vu les bénévoles en live, investis, sérieux  dans les réflexions, fiables, avec une réelle envie de bien faire et un investissement personnel fort en faveur de l’écologie qui se retrouve même dans le réseau qui gravite autour des projets, comme chez Enercoop, qui les accompagne par exemple ! Ça ma plu, car je me suis retrouvée dans ces valeurs. »

LUI : « Tout bonnement car local, c’est la seule piste que je connaissais déjà depuis assez longtemps, ce qui est rassurant pour un premier pas. Le principe d’adoption de panneau solaire a également joué; pour produire grâce à cette souscription l’équivalent de notre consommation en énergie renouvelable. (D’ailleurs il faudra que je vérifie si je dois doubler la souscription pour cette objectif…) « 

Votre conseil pour tous ceux qui n’ont pas franchi le pas ?

ELLE : « Mon argument : on sait qu’il faut changer les choses. Maintenant et très vite, pas dans cinq ans !
Quelques parts, c’est pas des montants qui changent radicalement la vie, et pour autant c’est la moindre des choses de prendre en main le pouvoir qu’on a à portée de soi, et le convertir en action ! Ce n’est « qu’un » pas de plus, mais C’EST un pas de plus ! »

LUI : « A chaque fois que nous avons de l’argent placé quelque part sans faire attention à ce qu’il y a derrière, on participe souvent, et à notre insu aux dérives du système financier. Investir directement en local plutôt que sur n’importe quel produit bancaire, même juste avec  » 3 francs 6 sous », est une manière d’arrêter de laisser faire les délocalisations, etc… Mais je commence tout juste ma prise de conscience, à chacun son rythme! »


Depuis, dix personnes l’ont utilisée à ce jour – pourquoi pas vous ? 🙂

Quitter la version mobile